Divers ouvrages et presse en relation avec mon parcours de "montreur d'images"
C'est à l'occasion d'un parcours éclectique ouvert aux diverses façon d’aborder l’art, que c'est construite cette bibliographie qui, je le crois, traduit mon véritable goût pour la liberté, comme ma réelle révulsion pour les parcours professionnels linéaires.
Certains y verront, comme on le dit aujourd’hui, des qualités de "flexibilité" au travail, que je ne dénie pas, une réelle polyvalence, une véritable disponibilité sans entrave à l’emploie, ce que j'admet, d'autres une forme d'incohérence, voir même une certaine forme d’amateurisme, ce que je revendique car l'amateur est avant tout celui qui aime . Mais, peux m'importe. Car ce sont les circonstances qui ont construit ma détermination, mes envies et au bout de compte, mon existence.
Au résultat je n'y suis pour presque rien, et pourtant je me retrouve au centre d'une réalité qui est mienne, à la croisée des chemins j'en suis devenu le guetteur. C'est la principale raison pour moi de collecter cette accumulation de faits qu'aujourd'hui je m'efforce de rendre visible sur ces quelques pages...
Claude Viseux "récit autobiographique"
Extrait à la page 47 :
"Raymond me présenta Jean Loup Bézos, qui assura l'exposition "César-Féraud-Viseux" à Biarritz. Nous sommes devenus complices, aujourd'hui encore nous partageons le goût de la liberté du dire. Il a été loufiat chez Albert à Biarritz, galeriste, peintre de "la figuration critique du monde", loin de celle dite "nouvelle" ou "narrative" enregistré par l'histoire. Avec une exposition dans les halles de Biarritz, il planait au-dessus de la "belle bouffe" avec des portraits éloquents. L'humour et l'acide des mots nous aident à surmonter le banal quotidien. "provocateur providentiel, il est lui aussi un bourreau de ce monde hagard", comme disait Eduard Jaguer."
Edition d'Art Somogy, Octobre 2008 )
Dietrich-Mohr
Jean-Loup Bézos.
Publié en 1989
j'ai écris le texte de cette monographie dans le cadre de mon travail du directeur artistique de la Galerie Bellint. Il s'agissait d'une commande à l'occasion de plusieurs expositions de cet artiste qui figurait dans l'équipe de la galerie
BEZOS JEAN-LOUP
LES TEMPS ELECTRIQUES
éditions " ATLANTICA", 2003
100 exemplaires ont été édité
Les 110 pages couleur de cet ouvrage ne sont pas consacrées a ma barbouille, tout au contraire, il s'agit d'un ensemble de peintures réalisées en vue de constituer un livre qui n’est ni une bd ni un catalogue d’artiste mais qui cherche à évoquer les étapes d’une génération (la mienne) influencée (parfois sans s’en douter) par la vulgarisation de l’énergie électrique qui a peu a peu changé et notre quotidien et nos comportements.
Bon ça c’est « le fil conducteur » mais j’y ajoute aussi des impressions et souvenirs plus intime, des souvenirs qui n’appartiennent qu’a moi : Bref si le titre générique situe le déroulement l’ensemble à partir du phénomène "électrique" ce livre est d'abord le journal d’un quidam qui a vécu a ce moment.
article écrit par Jean Loup Bézos pour le figaro Magazine
Photographies de Jean Bernard Lafitte.
la diversité de mon engagement pour l'art
j'avais organisé cette exposition à Bruno Aguerre artiste d'Hendaye (64) alors que j'étais directeur artistique de la galerie Bellint à Paris (29 bis boulevard Sébastopol
Dès la première mandature de Didier Borotra je fus invité à proposer une programmation annuelle d'expositions. Je ne connaissais pas les nouveaux élus de la ville de Biarritz. C'était une relation, connaissant mon parcours, qui m'introduisit auprès de la nouvelle municipalité à l'époque en recherche de conseil dans ce domaine. Plus tard j'ai cru comprendre que c'est Pierre Levais directeur de la galerie Marlborough qui prit le relais.Je l'avais rencontré au cours de l'exposition hurting que j'avais présenté à Biarritz.
sur l'image de droite à gauche, moi même, un élu en costume clair, le peintre Ladislas Kijno venu honorer ses amis,Albert Féraud, Borotra, Jakech Abebrery en retrait, et Claude Viseux. (exposition César-Féraud-Viseux Palais des festivals de Biarritz)
j'avais rencontré Alain Quemin à Paris au cours d'une exposition de mes peintures. au sein d'un groupe d'artistes. Il y fit à la demande des organisateurs une conférence autour de son ouvrage "le rapport Quemin" : "«Le rôle des pays prescripteurs sur le marché et dans le monde de l’art contemporain». Sous ce titre, le sociologue Alain Quemin a rédigé à la demande du ministère des Affaires étrangères, une étude relative à la représentation de l’art français à l’étranger. «Mondialisation, globalisation, métissages" . Je lui dis demandé de faire une conférence à Biarritz, ce qu'il accepta.
dans le cadre de l'association Art-Médiation dont je fus le co-fondateur avec Guy Gaujacq nous avons ouvert une réflexion sur les conditions de la professionnalisation des artistes
Et nous avons, toujours dans le cadre d'Art Médiation, réalisé des interventions en milieu scolaire